Nathalie Alonzo entretenait une relation extra conjugale avec un autre homme. M. Safarian, dans sa manie de lire les courriers des résidents, est tombé sur un de leurs échanges. Étant lui-même amoureux de Nathalie et voyant que ça n’était pas réciproque, M. Safarian, de colère et de jalousie décide de tout raconter à M. Alonzo, ce qui provoque la séparation et le divorce des époux.Lors d’une assemblée générale du syndic, à laquelle M. Safarian s’invite, il éclate de colère et lâche les noms “nanour” et “doudou”, ce qui surprend et horrifie Nathalie, qui quitte les lieux.Dès lors, elle veut se venger de M. Safarian et en jouant sur son goût pour les énigmes, lui envoie des morceaux de codes, qui réunis, forment un message illustrant sa vengeance.

M. Safarian n’aura jamais le temps de reconstituer tout le code car le samedi soir, Mme Renouf prévient le gardien qu’il y a du bruit aux caves. Il y descend et dans la chaufferie à la porte crochetée grâce aux talents de serrurier de son ex-mari, Nathalie l’attend, cachée dans une alcove.Elle le pousse dans les escaliers, il heurte le mur de béton et s’écroule sur le sol de terre. Encore vivant mais groggy, il arrache la breloque de Nathalie dans une tentative de défense.

Inférieure physiquement, Nathalie utilise un extincteur entreposé là pour terminer son méfait.Elle fuit les lieux, protégée par son alibi fourni par Mme Renouf.